25 septembre 2004
Badaboum, la vie résonne
Hier soir, Loïc Lantoine et ses chansons pas chantées.
Loïc Lantoine accompagné de François Pierron à la contrebasse... Une belle complicité. Entre rire et tendresse, humour et l'émotion, Loïc Lantoine quoi ! Les cheveux dans les yeux (bleus), une voix qui vous prend et vous emmène où elle veut : tant mieux, où elle veut, c'est bien, c'est un joli univers.
Une voix et une contrebasse. Je n'aurais jamais pensé qu'on puisse faire tant de chose avec une contrebasse. Dans les mains de François Pierron, elle remplace avantageusement une batterie, des violons et peut même servir de point d'appui pour sauter plus haut.
Et de la poésie, bien sûr. Pas de la poésie chiante et prétentiarde, non de la vraie poésie, sincère, décalée qui vous met des étoiles dans les yeux et vous donne un sourire grand comme ça pour un soir, ou plus, pour chaque fois que vous y pensez.
Même les collégiens, qui étaient venus là surtout poussés par leur prof de français, et envisageait la soirée comme un pensum, ont succombé à la magie Lantoine et répétaient à la sortie : « Faut pas dire du mal de Johnny ! » et reproduisaient rictus et mimiques du pas chanteur Loïc.
Loïc Lantoine accompagné de François Pierron à la contrebasse... Une belle complicité. Entre rire et tendresse, humour et l'émotion, Loïc Lantoine quoi ! Les cheveux dans les yeux (bleus), une voix qui vous prend et vous emmène où elle veut : tant mieux, où elle veut, c'est bien, c'est un joli univers.
Une voix et une contrebasse. Je n'aurais jamais pensé qu'on puisse faire tant de chose avec une contrebasse. Dans les mains de François Pierron, elle remplace avantageusement une batterie, des violons et peut même servir de point d'appui pour sauter plus haut.
Et de la poésie, bien sûr. Pas de la poésie chiante et prétentiarde, non de la vraie poésie, sincère, décalée qui vous met des étoiles dans les yeux et vous donne un sourire grand comme ça pour un soir, ou plus, pour chaque fois que vous y pensez.
Même les collégiens, qui étaient venus là surtout poussés par leur prof de français, et envisageait la soirée comme un pensum, ont succombé à la magie Lantoine et répétaient à la sortie : « Faut pas dire du mal de Johnny ! » et reproduisaient rictus et mimiques du pas chanteur Loïc.
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